C'est marrant : la citation sur la Corse attribuée à tort à André Malraux est en fait d' Heidegger ( Malraux n'a fait que la reprendre à son compte, au même titre qu'il avait scandaleusement piqué les statues à Ankgor Vat, avant de se faire honteusement chopper en flagrant délit; authentique).

Heidegger donc, philosophe allemand ( "la phénoménologie" ) , a prononcé cette phrase en 1919, après le traumatisme de la guerre, en sirotant une Pietra roborative à l'hôtel de Vizzavona gare, devant de nombreux témoins (une demi douzaine de porcs).

Il venait d'échouer dans sa tentative en solitaire sur l'arête Est du Monte d'Oru (on ne peut être à la fois un philosophe renommé et un alpiniste intrépide, hein; n'est ce pas, Montagnolu ? ) .

L'histoire ne retient pas si une éructation salutaire suivit cette phrase restée célèbre ( probablement, les bulles de la Pietra de l'époque étant bien plus puissantes et riches en gaz carbonique).


A moins que ça ne fut Nietsche ? Ma mémoire me fait défaut, après toutes ces années .

Un brin de culture, dans ce monde de brutes, ne fait de mal à personne ! Mangeur de Figatellu, tu veux dire que je ne suis pas philosophe ?...
Petit bémol, je ne sais pas si la Piéta était au goût du jour en 1919.
Viva Corsica ! et à prestu dans la poudreuse.

Une autre anecdote pour les érudits :
NietZsche bien ouvert le premier une très belle ligne sur la face NE de la Paglia, la "voie Nietzsche" .

Ce con de Finch lui a piqué des carnets et a refait la voie (en passant cette fois à droite du bloc coincé, histoire de dire que c'est une ouverture) : la fameuse voie "Finch" .

Arrivé en haut, il a dit " mes pompes sont mortes" , ses pompes lui ont répondu " c'est toi qu'est mort, hé, banane" .




@Martial : à moins que ça ne soit l'inverse.